Mes missions chez le Zeste Écolo

Je suis en quelque sorte le visage de l’association !

J’ai fondé l’asso avec ma mère et mon frère afin d’étendre ce que j’avais déjà mis en place depuis 4 ans en tant qu’auto-entrepreneure.

J’encadre les ateliers, je m’occupe de la gestion des stocks de la boutique (achat, création, vente) et des réseaux sociaux de l’association.

Animation des ateliers

J’anime des ateliers créatifs depuis 4 ans, je suis animée par la joie de former et transmettre, je suis un être profondément social.

Je me forme en autodidacte et en continu pour proposer une palette d’activités la plus large possible, adaptée aux besoins de chacun.e et à l’évolution de notre société.

Je suis passionnée de cuisine depuis longtemps. Végétarienne depuis plus de 7 ans et intolérante au lactose et au gluten, j’ai donc dû changer mes habitudes pour garder une cuisine simple, savoureuse et bon marché, qui convienne à mon régime alimentaire et à mes convictions (tu pourras découvrir mon déclic plus bas).

J’adore créer et bricoler : j’ai fait des études d’arts plastiques et d’arts appliqués. Les activités de peinture, de collage, de calligraphie me canalisent et me détendent, je trouve beaucoup de plaisir et de sens dans la transformation des meubles (souvent trouvés dans la rue), dans la couture, le crochet et le jardinage.

La perfection ou les créations de haute voltige ne m’intéressent pas : utiliser des ustensiles de pointe ou des ingrédients de niche non plus. C’est cher, ça n’est que rarement utilisé, c’est élitiste … Rien à voir avec ma conception d’un mode de vie écolo accessible à tou.te.s !

 

Mon but avec les ateliers, c’est que les adhérent.e.s puissent reproduire les formules ou les tours de mains, des pas à pas inratables à répéter à l’infini et hyper facilement à la maison.

Par exemple, si j’anime un atelier pour faire son dentifrice ZD … j’espère ne JAMAIS revoir la même personne au même atelier (j’aurais raté mon but sinon …).

Animation des réseaux sociaux

L’expérience m’a prouvé plusieurs fois que la meilleure force de conviction, c’est de montrer l’exemple. Je milite pour une alimentation végétale. J’ai choisi de ne pas étaler des arguments pro-végés ou anti-carnistes, mais de montrer que c’est possible.

Je mets toujours la main à la pâte quand je vais chez des proches, déjà pour les décharger de la charge de cuisiner végé + sans gluten + pauvre en lactose, mais aussi et surtout pour montrer que les plats sont faciles à faire, qu’ils plaisent à tou.te.s, et que ça reste convivial. Et je laisse la recette derrière moi …

J’ai commencé à poster mes assiettes sur Instagram il y a quelques années. On y trouve du sucré, du salé, du cru, du cuit, du healthy, du frit, des petits plats vite faits, des grandes salades, ou des choses plus élaborées. Les réseaux, c’est juste la suite de ce que je fais déjà dans la vie. Si ça peut t’inspirer, te faire découvrir un ingrédient … the job is done !

Sur les réseaux sociaux du Zeste Écolo, je te propose plein d’autres contenus tels que des pistes bien-être, des tutos, des actus, etc …

Fabrication des produits LZE

Je suis l’heureuse marraine d’une petite Sophie, née en 2018. Quel rapport entre les produits LZE et ma filleule ?

Depuis sa naissance, sa maman me partage ses inquiétudes et ses nombreuses réflexions, sur la composition des produits de la salle de bains en particulier … Nos échanges m’ont poussé à développer une gamme de cosmétiques clean et de produits nettoyants efficaces et non toxiques.

Je mets également mes autres compétences au service de la gamme : crochet, couture, création de visuels pour les étiquettes, meubles upcyclés pour la boutique …

Mon déclic écolo

 » Il y a une dizaine d’années, je regarde un reportage sur le continent de plastique, cette masse de déchets qui envahit certaines zones de l’océan.

Je découvre cette tristement célèbre image d’une tortue avec une paille dans le nez … La voix off explique que les pailles et les coton-tiges sont consommés à grande échelle et que leurs plastiques ne sont pas traités, et se retrouvent jetés en quantités astronomiques parmi des tas d’autres ordures, et se retrouvent brassés par les courants et rassemblés dans ces zones.

Je me couche atterrée par cette découverte, avec cette pensée : « qu’est-ce que je peux faire ? Le mal est fait, et je n’y peux rien … »

Le lendemain matin, alors que je prends mon café, je visualise ma boîte de cotons-tiges, dans la salle de bains. Et je me dis : « si je ne cherche pas de solution, je fais partie du problème ». En effet, j’avais jeté des centaines de coton-tiges sans jamais imaginer ce qu’ils devenaient. Mais pas ce matin-là. À présent, je savais. Et je ne pouvais plus continuer.

Je ne le savais pas encore, mais c’était le début d’un grand changement pour moi.

En quelques semaines j’ai terminé mon pot de cotons-tiges, pour ne jamais en racheter. J’ai remplacé l’essuie-tout par des lavettes réutilisables, les mouchoirs par du tissus, banni les lingettes que j’utilisais déjà peu …

Je me suis renseignée sur les produits de consommation qui étaient les plus polluants … et je suis devenue végétarienne.

Aujourd’hui les marques contournent le problème et s’adaptent aux nouvelles normes en utilisant du carton pour les cotons-tiges … ce qui est mieux, bien sûr, en terme d’impact global, mais revient tout de même à beaucoup de production et beaucoup de déchets. Il existe des solutions bien plus efficaces : en 10 ans, j’ai utilisé 2 oriculis en bambou (tous 2 cassés dans ma trousse de toilette lors de voyages) et je me suis procuré ce qui devrait être mon dernier oriculi : il est en inox. À moins de le perdre, le problème des déchets causés par mon nettoyage d’oreilles est résolu pour toute ma vie.

Mon parcours pro

J’ai étudié les arts plastiques, les arts appliqués et un peu l’architecture, puis bossé plus de 13 ans dans le commerce en tant que vendeuse ou responsable de boutique. Tous mes postes avaient en commun une forme de créativité (photo, déco, cuisine …) et surtout la notion de bien-être. J’ai toujours adoré les échanges avec les client.e.s et le travail en équipe, notamment les faire monter en compétences et les voir grandir. J’ai beaucoup appris pendant ces années, surtout sur ma capacité à remplir des tâches polyvalentes et à me dépasser.

Après un burn-out et une grosse remise en question, j’ai décidé de mettre au centre de ma vie ce qui me faisait vraiment vibrer : créer, transmettre, et surtout me détacher de la valeur « argent » au profit d’une autre richesse, l’être et le faire ensemble.